Yinka Shonibare est né en 1962. Il est considéré comme un artiste britannique majeur. J’aurais aimé pouvoir aller voir l’expo qui lui a été consacrée cette année au Smithsonian de Washington... entre autres. J’avais vu quelques œuvres il y a trois ans au musée du Quai Branly. C’est différent. Et un peu dingue. Ne ratez pas son travail qui est bien plus varié encore que ce que j’en raconte ici. Quand je vous dis que les hommes ont leur propre façon de porter le pagne !
mercredi 9 décembre 2009
Le pagne selon Shonibare
Yinka Shonibare, ça vous dit quelque chose ? Son nom sonne nigérian. Ses locks évoquent la Jamaïque. C’est un plasticien britannique à l’esprit libre, qui a renforcé plus que jamais cette liberté alors qu’il étudiait l’art, à Londres, et qu’un professeur lui demanda pourquoi il voulait travailler sur la Perestroïka au lieu de faire de l’art “authentiquement africain”. Il dit qu’il a trouvé à ce moment précis sa raison d’être artistique : « J’ai compris que ce sur quoi je devrais vraiment travailler serait la dé-construction des stéréotypes ». Découvrant par la suite, à sa grande surprise, que le pagne, ce tissu censé connoter l’Afrique est en fait créé et fabriqué en Hollande avant d’être exporté, Yinka Shonibare décide de faire de ce tissu un fer de lance de son travail. Regardez comment il le fait porter à ces personnages de l’époque victorienne...
Yinka Shonibare est né en 1962. Il est considéré comme un artiste britannique majeur. J’aurais aimé pouvoir aller voir l’expo qui lui a été consacrée cette année au Smithsonian de Washington... entre autres. J’avais vu quelques œuvres il y a trois ans au musée du Quai Branly. C’est différent. Et un peu dingue. Ne ratez pas son travail qui est bien plus varié encore que ce que j’en raconte ici. Quand je vous dis que les hommes ont leur propre façon de porter le pagne !
Yinka Shonibare est né en 1962. Il est considéré comme un artiste britannique majeur. J’aurais aimé pouvoir aller voir l’expo qui lui a été consacrée cette année au Smithsonian de Washington... entre autres. J’avais vu quelques œuvres il y a trois ans au musée du Quai Branly. C’est différent. Et un peu dingue. Ne ratez pas son travail qui est bien plus varié encore que ce que j’en raconte ici. Quand je vous dis que les hommes ont leur propre façon de porter le pagne !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Etonnant et surprennant... merci !
RépondreSupprimer