A Bamako, cette semaine, j’ai aimé…
Plein de choses, comme
Rencontrer des scolaires pour parler du mystère de l’imagination et du plaisir d’écrire ou de lire des histoires (ça fait plaisir d’être invitée comme auteure)…
Respirer la chlorophylle du très beau, calme et cool jardin botanique… (Je reviendrais bien jogger ici!).
Visiter l’ensemble architectural du musée national… et en particulier – je ne me refais pas – les salles consacrées aux textiles (quelle beauté ! j’avais envie de voler tous les bogolans et les indigos!)
Ecouter le groupe de Cheikné Sissoko programmé au Patio de l’Institut français : cinq tamas et tamani, un balafon, une flûte, une cantatrice… et la musique mandingue, tellement ancienne, tellement d’aujourd’hui !
Discuter avec Adama Traoré, grand homme de théâtre malien, dont la compagnie se bat, notamment, pour sensibiliser à l’obscurantisme qui gangrène le Nord.
Et plein d’autres choses…
Bref, Bamako, j’ai aimé car comme d’aucuns disent ici :« le Mali, c’est le Mali ».
Rendez-vous fin novembre et début décembre à Bamako (21 au 24) puis Sikasso (1er au 7 décembre), pour le Festival du théâtre des Réalités emmenée par Acte 7, la compagnie d’Adama Traoré.
samedi 27 octobre 2012
vendredi 26 octobre 2012
Tabaskidi
Aujourd’hui, j’ai aimé...
vivre la tabaski, à Bamako.
En ce jour de fête du mouton, il n’y a finalement que les moutons qui ne soient pas à la fête.
Gentillesse, partage, bons souhaits, prières... et des pensées pour le Nord du pays.
Aujourd’hui, j’ai aimé me sentir ouest-africaine.
jeudi 25 octobre 2012
Cou court ou coucou...
Aujourd’hui j’ai aimé…
me balader au marché, chez les fournisseurs de perles de ma copine Tetou, créatrice de bijoux... Puis, dans l’après-midi, en visite au somptueux musée national du Mali, découvrir ce proverbe bambara, dans l’exposition en cours sur la divination :
« Le comble de la parure, c’est le goitre: on se couche avec, on se lave avec, on meurt avec. »
(Découvrez les créations de Tétou Gologo via le site de sa marque : www.tamacali.com. De vraies parures, pour le coup !)
me balader au marché, chez les fournisseurs de perles de ma copine Tetou, créatrice de bijoux... Puis, dans l’après-midi, en visite au somptueux musée national du Mali, découvrir ce proverbe bambara, dans l’exposition en cours sur la divination :
« Le comble de la parure, c’est le goitre: on se couche avec, on se lave avec, on meurt avec. »
(Découvrez les créations de Tétou Gologo via le site de sa marque : www.tamacali.com. De vraies parures, pour le coup !)
mercredi 24 octobre 2012
Dans le silence du propos
Hier soir, j’ai aimé...
... assister au spectacle “La dernière interview”,
à l’Institut français du Mali (ex centre culturel français de Bamako). Le spectacle met en scène
la dernière interview accordée par Jean Genet
au journaliste Nigel Williams de la BBC, en 1985. J’avoue avoir été très décontenancée par la mise en scène de Catherine Boskowitz et par le jeu
du comédien Dieudonné Niangouna, dans le rôle de Genet. Non seulement parce que, tout au long de l’entretien, Genet ne cesse de refuser la norme, en se mettant parfois à la place de l’intervieweur, en affirmant, sur tous les sujets, son refus de l’ordre établi... Mais aussi parce que, en jouant
sur de longs silences, des disparitions et des improvisations dans lesquels ce n’est plus Genet mais Niangouna qui s’exprime, le spectacle nous déstabilise totalement, en tant que spectateur.
Restent les mots, leur sens et leur force, plus remarquables que jamais dans un tel contexte.
Un spectacle à voir dans les jours qui viennent à Dakar puis en Afrique centrale, à Douala, Bangui
(si je ne m’abuse)... Surveillez les programmes, bande de chanceux, va !
... assister au spectacle “La dernière interview”,
à l’Institut français du Mali (ex centre culturel français de Bamako). Le spectacle met en scène
la dernière interview accordée par Jean Genet
au journaliste Nigel Williams de la BBC, en 1985. J’avoue avoir été très décontenancée par la mise en scène de Catherine Boskowitz et par le jeu
du comédien Dieudonné Niangouna, dans le rôle de Genet. Non seulement parce que, tout au long de l’entretien, Genet ne cesse de refuser la norme, en se mettant parfois à la place de l’intervieweur, en affirmant, sur tous les sujets, son refus de l’ordre établi... Mais aussi parce que, en jouant
sur de longs silences, des disparitions et des improvisations dans lesquels ce n’est plus Genet mais Niangouna qui s’exprime, le spectacle nous déstabilise totalement, en tant que spectateur.
Restent les mots, leur sens et leur force, plus remarquables que jamais dans un tel contexte.
Un spectacle à voir dans les jours qui viennent à Dakar puis en Afrique centrale, à Douala, Bangui
(si je ne m’abuse)... Surveillez les programmes, bande de chanceux, va !
lundi 22 octobre 2012
Oxymoron
Aujourd'hui, j'ai aimé...
cette enseigne, vue dans les rues de Bamako :
« Océan Pressing - Lavage à sec »
cette enseigne, vue dans les rues de Bamako :
« Océan Pressing - Lavage à sec »
jeudi 18 octobre 2012
Feeling jaaaaazz
Aujourd'hui, j'ai aimé…
La pochette du nouveau disque de Malia…
Et cette chanson… (bon, d'accord, il faut supporter les 20 secondes de pub avant, mais je ne sais pas comment les enlever!!!). Bonne écoute !
La pochette du nouveau disque de Malia…
Et cette chanson… (bon, d'accord, il faut supporter les 20 secondes de pub avant, mais je ne sais pas comment les enlever!!!). Bonne écoute !
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