Oooh le coup bas de la pluie, cette semaine, étendant ses rideaux noirs sur toute la France, histoire de rappeler à ceux qui n’avaient pas compris que l'automne pointe son nez, que les vacances sont terminées et qu’on n’est plus là pour rigoler...
Ooooh le plaisir de savoir que là-haut à La Villette,
le festival de jazz fait la jonction entre les beaux et
les mauvais jours... et que j’ai peut-être raté une fois de plus Seun Kuti, mais que Fatoumata Diawara, elle, est bien là. C’était mercredi. Il faisait toujours ce temps à ne pas mettre un scooter dehors. Et la Cité de la musique semblait trop froide aussi, trop vaste et le public un peu gelé, assis là, à voir arriver la belle avec sa guitare, sa tête enturbannée, sa robe pagne et… ses baskets de boxeur.
Et au bout de quelques minutes, MAGIE. Le Mali s’invite à Paris. La percussionniste française se lâche. Le bassiste fait son bassiste camerounais (il n’y a pas au-dessus des Camerounais pour la basse). Et la sauce prend : piment, cumin, curcuma, gingembre, tralala. Je prends une ou deux photos en douce et je me lève pour danser (et d’ailleurs tout le monde s’y met). Fatoumata Diawara chante, joue de la guitare, danse comme une princesse, entraîne le public et remet un peu de lumière dans la froidure d’automne. Fatoumata est lààààààà…Et pour trouver des infos sur ses dates de concert, c’est par ici.
Ooooh le plaisir de savoir que là-haut à La Villette,
le festival de jazz fait la jonction entre les beaux et
les mauvais jours... et que j’ai peut-être raté une fois de plus Seun Kuti, mais que Fatoumata Diawara, elle, est bien là. C’était mercredi. Il faisait toujours ce temps à ne pas mettre un scooter dehors. Et la Cité de la musique semblait trop froide aussi, trop vaste et le public un peu gelé, assis là, à voir arriver la belle avec sa guitare, sa tête enturbannée, sa robe pagne et… ses baskets de boxeur.
Et au bout de quelques minutes, MAGIE. Le Mali s’invite à Paris. La percussionniste française se lâche. Le bassiste fait son bassiste camerounais (il n’y a pas au-dessus des Camerounais pour la basse). Et la sauce prend : piment, cumin, curcuma, gingembre, tralala. Je prends une ou deux photos en douce et je me lève pour danser (et d’ailleurs tout le monde s’y met). Fatoumata Diawara chante, joue de la guitare, danse comme une princesse, entraîne le public et remet un peu de lumière dans la froidure d’automne. Fatoumata est lààààààà…Et pour trouver des infos sur ses dates de concert, c’est par ici.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire